Article écrit par Varenssa FICADIERE
Étudiante en BTS Tourisme – 2021
L’arrivée du Covid, la déstabilisation du Tourisme.
A l’arrivée du Covid 19, en mars 2020, l’économie touristique se voit brutalement menacée car le premier confinement est mis en vigueur.
Les aéroports et les gares sont à l’arrêt et plus personne ne peut voyager, les frontières des pays vont même jusqu’à fermer. En France, le secteur touristique est l’un des plus importants car il symbolise 7.4% du PIB en 2018. Selon l’Organisation Mondial du Tourisme, cette crise représente 700 millions d’arrivées de touristes en moins, et une perte de 730 milliards de dollars pour le secteur touristique mondial. Le mois de Mars 2020 a donc été un tournant décisif pour le tourisme international en France.
A ce moment alors, tous les organismes de tourisme se préparent à rebondir une fois la crise terminée ; mais le problème est que personne ne connait la date de l’arrêt de l’épidémie.
Des restrictions ont bien entendue été mises en place pour pouvoir voyager mais seulement sur le territoire français. Les Français ont donc décidé de partir en vacances chez eux, après plusieurs mois confinés, puis limités dans leurs activités et leurs déplacements, ils s’apprêtent à partir en vacances d’été. Des vacances post-crise du coronavirus. Le secteur du tourisme en France a donc pu revivre durant cette courte période estivale.
Vers une perspective de renouvellement ?
Aujourd’hui plus que jamais les métiers du tourisme connaissent un renouvellement afin de rester en phase avec les dernières tendances et l’évolution des usages des clients. Cette nécessité d’adaptation est à l’origine de nouveaux métiers axés principalement sur le net.
Durant cette crise, l’utilisation de l’Internet c’est vu manifesté avec le télétravail notamment, mais les clients organisent désormais leurs voyages seul, ils réservent un billet d’avion ou de train ensuite l’hôtel et la voiture. Après un tel fonctionnement, certains de nos métiers sont-ils menacés ? Ou alors allons-nous connaitre une forte croissance à la réouverture des frontières ?