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L’arctique, c’est quoi ?

L’arctique représente l’étendue de glace au delà du 66eme parallèle nord.  Il regroupe huit pays : la Norvège, la Suède, la Finlande, la Russie, le Canda et le Danemark (par le Groenland), les Etats Unis (par l’Alaska) et l’Islande.

Auparavant abandonné, le déréglement climatique permet une traversée de l’Arctique facilitée par la fonte des glaces, offrant à la fois un nouvel enjeu énergitique mais aussi touristique. Pour garantir le bonne gestion de ce territoire, un conseil de l’Arctique a été créé en 1996.

Quels enjeux géopolitiques ?

La fonte des glaces provoquées par le réchauffement climatique permet l’utilisation de ces nouveaux territoires de diverses manières :

– Enjeu énergétique : encore vierge de l’activité humaine, les plaines gelées de l’arctique sont un nouveau front pionner dans le monde des énergies. Les poches de pétroles sous la calotte glaciaire serait parmi les plus grande la planètes. Aussi, la Mer du Nord, réputée pour être l’une des plus des plus agitées, pourrait être une nouvelle source d’énergie hydroélectrique majeure.

– Enjeu militaire : anciennement barrière naturelle, l’absence de banquise imposerait aux pays du cercle arctique la mise en place de nouvelles défenses.

– Enjeu commercial : Enfin, la fonte des glaces permet l’ouverture de nouvelles routes commerciales par cargo. Cela éviterait par exemple aux pays européens d’avoir à contourner le continent africain, puis traverser l’océan Indien, et ainsi faire un gain important de temps et d’argent.

Et le tourisme, qu'en est il ?

Les plus grands explorateurs et amateurs de voyages ont aujourd’hui les yeux rivés sur les déserts blancs de l’Arctique tant cette région du monde fascine et fait rêver. Une terre immaculée, une faune unique et préservée, un calme glaçant, le cercle polaire nord  peut offrir une expérience inoubliable tant cela est opposé aux standards du voyage.

Comment y aller ? Si comme nous vous vivez en France, peu d’option. Il faudra d’abord s’envoler pour une destination plus au nord comme la Norvège, l’Islande ou le Svalbard, ensuite prendre un bateau brise glace puis partir en mer du Nord. Il n’existe cependant que très peu de croisiéristes offrant ce genre de produits hors norme, parmi eux, Rivages du Monde ou Ponant et leurs croisières cinq étoiles. 

Soyez cependant prêt à débourser une belle somme pour vous offrir un si beau voyage… prés de 6500 € par personnes pour les moins chers.

L’arctique n’en est pas moins une destination très intéressante pour ses logements typiques et atypiques. Il n’est pas compliqué de trouver à loger dans des cabanes ou iourtes typiques du Groënland. Si le froid vous fait peur, des igloos tout équipés (et même chauffés) ou des chalets sont toujours accessibles. Il faudra cependant une fois de plus compter près de 200. 00 € par nuit pour ce genre de prestation.

Que faire ? Que voir ?

Participer à une chasse d'aurore boréale
Tester les plongeons arctiques
Visiter la captiale Inuit : Nuuk
S'extasier devant la faune locale
Partir en expidtion pour voir des orques
Déguster les plats locaux
Faire une ballade en chien de traineau
Observer la fonte des glaces

Quels problèmes cela engendre t il ?

La nouvelle venue des touristes sur un territoire jusque là préservé ne peut que apporté un certain dérèglement. 

Effectivement, il est d’or et déjà nécessaire d’établir un certain quota touristique pour ne pas accélérer ce phénomène de destruction déjà bien entamé : 

  • Le piétinement d’espaces protégés met en péril les recherches scientifiques au sein du territoire arctique.
  • Les émission de CO2 des bateau empirent la fonte de la banquise, provoquant ainsi une sorte d’auto destruction du tourisme.
  • Le bruit engendré par ces mêmes bateau attaquent les systèmes auditifs d’espèces habitués au calme des eaux froides 
  • Les ressources déjà rares et chères pour les populations locales sont alors « pillées » par les touristes.

En connaissances des problématiques ci dessus, il est alors d’actualité de se pencher sur la question d’un tourisme durable en arctique. 

Le voyage en Arctique, tourisme en expansion

FEUGAS Florian – 2024

L’arctique, c’est quoi ?

L’arctique représente l’étendue de glace au delà du 66eme parallèle nord.  Il regroupe huit pays : la Norvège, la Suède, la Finlande, la Russie, le Canda et le Danemark (par le Groenland), les Etats Unis (par l’Alaska) et l’Islande.

Auparavant abandonné, le déréglement climatique permet une traversée de l’Arctique facilitée par la fonte des glaces, offrant à la fois un nouvel enjeu énergitique mais aussi touristique. Pour garantir le bonne gestion de ce territoire, un conseil de l’Arctique a été créé en 1996.

Quels enjeux géopolitiques ?

La fonte des glaces provoquées par le réchauffement climatique permet l’utilisation de ces nouveaux territoires de diverses manières :

– Enjeu énergétique : encore vierge de l’activité humaine, les plaines gelées de l’arctique sont un nouveau front pionner dans le monde des énergies. Les poches de pétroles sous la calotte glaciaire serait parmi les plus grande la planètes. Aussi, la Mer du Nord, réputée pour être l’une des plus des plus agitées, pourrait être une nouvelle source d’énergie hydroélectrique majeure.

– Enjeu militaire : anciennement barrière naturelle, l’absence de banquise imposerait aux pays du cercle arctique la mise en place de nouvelles défenses.

– Enjeu commercial : Enfin, la fonte des glaces permet l’ouverture de nouvelles routes commerciales par cargo. Cela éviterait par exemple aux pays européens d’avoir à contourner le continent africain, puis traverser l’océan Indien, et ainsi faire un gain important de temps et d’argent.

Et le tourisme, qu'en est il ?

Les plus grands explorateurs et amateurs de voyages ont aujourd’hui les yeux rivés sur les déserts blancs de l’Arctique tant cette région du monde fascine et fait rêver. Une terre immaculée, une faune unique et préservée, un calme glaçant, le cercle polaire nord  peut offrir une expérience inoubliable tant cela est opposé aux standards du voyage.

Comment y aller ? Si comme nous vous vivez en France, peu d’option. Il faudra d’abord s’envoler pour une destination plus au nord comme la Norvège, l’Islande ou le Svalbard, ensuite prendre un bateau brise glace puis partir en mer du Nord. Il n’existe cependant que très peu de croisiéristes offrant ce genre de produits hors norme, parmi eux, Rivages du Monde ou Ponant et leurs croisières cinq étoiles. 

Soyez cependant prêt à débourser une belle somme pour vous offrir un si beau voyage… prés de 6500 € par personnes pour les moins chers.

L’arctique n’en est pas moins une destination très intéressante pour ses logements typiques et atypiques. Il n’est pas compliqué de trouver à loger dans des cabanes ou iourtes typiques du Groënland. Si le froid vous fait peur, des igloos tout équipés (et même chauffés) ou des chalets sont toujours accessibles. Il faudra cependant une fois de plus compter près de 200. 00 € par nuit pour ce genre de prestation.

Que faire ? Que voir ?

Participer à une chasse d'aurore boréale
Tester les plongeons arctiques
Visiter la captiale Inuit : Nuuk
S'extasier devant la faune locale
Partir en expidtion pour voir des orques
Déguster les plats locaux
Faire une ballade en chien de traineau
Observer la fonte des glaces

Quels problèmes cela engendre t il ?

La nouvelle venue des touristes sur un territoire jusque là préservé ne peut que apporté un certain dérèglement. 

Effectivement, il est d’or et déjà nécessaire d’établir un certain quota touristique pour ne pas accélérer ce phénomène de destruction déjà bien entamé : 

  • Le piétinement d’espaces protégés met en péril les recherches scientifiques au sein du territoire arctique.
  • Les émission de CO2 des bateau empirent la fonte de la banquise, provoquant ainsi une sorte d’auto destruction du tourisme.
  • Le bruit engendré par ces mêmes bateau attaquent les systèmes auditifs d’espèces habitués au calme des eaux froides 
  • Les ressources déjà rares et chères pour les populations locales sont alors « pillées » par les touristes.

En connaissances des problématiques ci dessus, il est alors d’actualité de se pencher sur la question d’un tourisme durable en arctique. 

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